Cinéma Paradiso - Filoteo Alberini

Cinéma Paradiso

Critique:

J'ai bien aimé le film Paradiso, c'était la première fois que j'écoutais un film italien et j'ai vraiment été surprise. Au départ, je ne m'attendais pas à grand-chose, car ce n'est pas vraiment un film que j'aurais loué dans les clubs vidéo. Habituellement, les films que je regarde c'est des films américains. J'ai vraiment aimé ce film, je trouve que cela nous insiste à louer des films qui ne sont pas nécessairement américains. C'est une très belle histoire aussi. Après avoir écouté ce film, cela m'a fait réaliser que les films des autres pays peuvent être autant captivants que ceux américains, dont on a l'habitude d'écouter.J’ai aimé les acteurs dans ce film, on pouvait vraiment ressentir leurs émotions, leur passion inouïe pour le cinéma. Bref, je le conseille fortement, c’est vraiment un bon film à voir !

 

Dérapages

Dérapages

Réalisateur: Paul Arcand

Année de sortie: 2012


Critique:

Cette semaine, j’ai écouté le documentaire de Paul Arcand. Un documentaire sur la vitesse et l’alcool au volant. Habituellement, je ne suis pas vraiment attirée à écouter des documentaires, par contre celui-ci me touchait davantage. Je connais beaucoup de gens qui ont eu des accidents de voiture et ça m’a vraiment touchée au plus profond de moi-même. Je trouve que c’est vraiment une bonne idée de faire un documentaire avec des gens qui sont décédés réellement, cela vient nous chercher davantage. La SAAQ automobile fait souvent des annonces pour sensibiliser les jeunes à faire attention sur la route. Par contre, en sachant que ce ne sont pas de vraies personnes qui décèdent dans ses annonces, je trouve que ce n’est pas aussi choquant. Ce documentaire m’a fait réfléchir, car comme plusieurs le disent dans le documentaire, on ne pense jamais que c’est à nous que cela pourrait arriver, donc quelqu’un d’ivre vient nous ramener à la maison. On ne pense aucunement au danger et ce qui pourrait nous arriver. J’ai aussi beaucoup aimé le fait que Paul Arcand a mis les photos de plusieurs victimes dans son documentaire. D’ailleurs, une personne avec qui j’allais à l’école était dans ce documentaire. Cette personne avait conduit après d’avoir été à une fête. Ce documentaire nous permet vraiment de réfléchir. Mais, ce documentaire va-t-il arrêter les gens de faire de la vitesse ?

Rebelle

Rebelle

 

Réalisateur:Kim Nguyen
Année de sortie:2012
Synopsis:
C’est l’histoire d’une jeune princesse, qui se nomme Merida. L’histoire se passe dans un château, en écosse. Merida, est la fille du roi Fergus et de la reine Elinor. Sa mère, désire qu’elle se comporte comme une « vraie » princesse. Merida est totalement en désaccord avec cette idée, elle veut faire ce qu’elle veut. Un jour, Elinor dit à sa fille qu’elle devra marier un garçon. À la cérémonie, elle s’enfuit et elle croise le chemin d’une sorcière. Merida demande donc à la sorcière de réaliser son vœu. Elle lui demande de changer sa mère et de changer son propre destin. C’est à partir de ce moment que la vie de Merida change totalement et que la malédiction est lancée.

 Critique :

J’ai vraiment aimé ce film, car je trouve qu’il y a de très belles couleurs, les personnages sont bien faits. Je trouve extraordinaire le changement dans les films d’animations qu’il y avait avant et Rebelle. J’ai beaucoup aimé l’histoire aussi, je trouve que ça change l’histoire habituelle des princesses. Cet univers merveilleux, magique qui est présent dans le film, la façon dont tout ça est présenté, nous permet de se sentir, comme si on n’y était.

Voici la bande-annonce de ce film.

Valse avec Bachir

Valse avec Bachir

Réalisateur: Ari Folman

Année de sortie: 2008

 Deux éléments présents dans le film :

Dans le film, Valse avec Bachir, il y a plusieurs Ellipses. Notamment, lorsque le réalisateur Ari Folman raconte à un de ses amis, dans un bar, ce qu’il a vécue au Liban, lorsqu’il était soldat. Il raconte ce qu’il s’est passé il y a 20 ans, à cet endroit. On revoit le Flashback de cette guerre. De plus, son ami, à son tour, raconte ce qu’il se rappelle de la guerre au Liban. À maintes reprises, on le voit sortir de l’eau avec ses coéquipiers, ils s’habillent et marche dans la rue. À ce moment, il y a un travelling circulaire autour du sujet.

 

La scène la plus marquante selon moi, c’est lorsque les soldats se promènent à travers des arbres et qu’un petit enfant est caché avec un lance-roquette. Il tire sur le tank et se fait tirer par les soldats. L’enfant tombe par terre et on le voit ensanglanté. De plus, tout au long de cette scène, la musique est très douce, comme si cette scène n’était pas dramatique. Cette musique nous donne l’impression que c’est une scène joyeuse, mais qui en réalité, c’est tout à fait le contraire.

 

Critique :

J’ai aimé la façon dont ce film a été tourné. Ce film sort de l’ordinaire. Habituellement, dans les films d’animation, tout est beau et la fin finir toujours bien. Mais, dans ce film c’est totalement le contraire. Tout au long de ce film, c’est la guerre qui est présentée sous son vrai jour. De plus, le film étant en animation donne une impression que cela atténue le fait que c’est la guerre, il y a beaucoup de morts, de sang. Vers la fin, on voit des images réelles de la guerre au Liban. Je trouve que cela vient mettre beaucoup plus d’impact, cela nous fait un choc. Ce film est très bien fait, c’est le premier film d’animation que je vois, qui est pour les adultes.

Kiss kiss bang bang

KISS KISS BANG BANG!

Critique:

L’histoire de ce film m’a accrochée du début à la fin. Je trouvais que les acteurs pouvaient bien nous faire ressentir leurs émotions. De plus, en sachant que l’acteur principal est une personne qui sort de prison. Je trouve que c’est une très bonne idée de l’avoir introduit dans ce film. L’histoire est beaucoup plus captivante pour cette raison. On se demande si ce criminel a déjà vécu une situation semblable à celle du film. J’imagine que ça doit être pour cette raison que le réalisateur lui a demandé de jouer ce rôle. Il était parfait pour ce rôle. Ça fait changement des autres films, où l’on sait que les personnages sont fictifs. Tandis que dans ce film, c’est vraiment un criminel qui est le personnage principal.

Une histoire de Sin City

Analyse et critique

Titre du film: Une histoire de Sin City

Année de sortie : 2005

 Synopsis :

L’histoire se déroule à Sin city. Plusieurs histoires se déroulent en même temps. Marv, un ancien détenu passe la nuit avec une femme, qui se nomme Goldie. Elle se fait assassiner et Marv veut retrouver celui qui a assassiné son véritable amour. Hartiguan, quant à lui, veut protéger Nancy, qui depuis son enfance la protège contre un pédophile. Dwight qui est avec Shellie, son amante, passe ses nuits à protéger les danseuses du quartier de Jackie Boy dont, Shellie fait partie de cette troupe de danseuses. Ceux-ci sont également des tueuses à gages.

 Les thèmes du film noir :

Dans ce film, plusieurs thèmes qui caractérisent le film noir est présents. Dont, le crime, plusieurs personnes sont assassinées dans ce film. Tout est basé sur le crime, cela fait partie de l’histoire. L’histoire se déroule tout au long du film dans les rues sombres, c’est toujours la nuit. La cupidité chez le Yellow Bastard est présente, il est prêt à tout pour violer des petites filles, dont Nancy. Il en veut toujours plus, il dit lui-même dans le film qu’il a violé une dizaine de filles. La morale ambivalente du bien et du mal fait partie de ce film, en particulier Hartiguan qui ferait tout pour Nancy, et qu’il veut le bien pour elle. Tout au long de l’histoire, il est là pour elle lorsqu’elle est en danger. Tandis que, le Yellow Bastard, lui lui veut du mal, il veut la violer. L’apparition du sadisme, en particulier vers la fin, lorsque Hartiguan se bat avec Yellow Bastard, il réussit à le désarmer et lui arrache les parties génitales. Le film se déroule souvent dans le bar de danseuses. À maintes reprises, on voit ses femmes à moitié nues. Le renforcement de l’érotisme est une caractéristique importante dans le film noir.

 Les personnages typiques :

§ Celui qui cherche la vérité :

Dans ce film, il y a Marv, un anciens détenue et assassin qui recherche la vérité par rapport à la mort de Goldie. Une femme qui a passé la nuit avec elle et dont il était amoureux.

§ Le traqué :

Le flic corrompu, qui se nomme Hartiguan est poursuivie tout au long du film par des méchants. Au début, Hartiguan voulait sauver Nancy des mains du pédophile, Roark Jr., il lui tire une oreille, un bras et il lui tire dans les parties génitales. À maintes reprises il est pourchassé. Par contre, Roark Jr. revient vers la fin sous le nom de Yellow Bastard et totalement transformer en une créature jaune. Il revient dans le seul et unique but d’en finir avec Nancy. Même si, celui-ci la trouve trop vieille pour lui, car il préfère les filles plus jeunes. Il revient d’autant plus pour sa revanche avec Hartiguan, pour ce qu’il lui a fait.

§ La femme fatale :

Dans ce film, Diwght est l’homme de Shellie. Par contre, lorsque ceux-ci se battent avec Jackie et ses hommes, on sous-entend qu’elle est avec Dwight parce qu’elle sait que celui-ci sera là pour elle pour la protéger et elle sait qu’il gagne toujours. Elle reste avec lui, parce qu’elle sait qu’elle sera toujours en sécurité et qu’elle détient le pouvoir entre ses mains avec lui.

Les caractéristiques stylistiques :

§ L’éclairage en clairs-obscurs :

Comme à la manière de Rembreault et Caravage, le film noir de la période classique se caractérise par un univers sombre et contrasté. Tout au long que l’histoire se déroule, l’image est en noir et blanc. C’est toujours la nuit, les rues sombres et la ville qui est sombres. Par contre à certain moment, le sang est rouge flashant ou blanc. On voit parfois les personnages avec des couleurs, dont beaucoup de rouge contrasté avec le noir et blanc. De plus, Yellow Bastard est Jaune flashant aussi, qui ressort énormément avec le blanc et le noir.

§ Les angles de caméra :

Il n’a aucun Dutch Angle dans le film Sin City. Par contre, à plusieurs reprises Hartiguan se fait tirer dessus et il se relève. Lorsqu’Hartiguan se relève, on le voit en contre-plongée. Cela démontre la puissance et la volonté d’Hartiguan, ainsi que le pouvoir qu’il possède et sa force. On entend sa voix, comme si on n’était dans sa tête. Celui-ci s’encourage pour se lever, il se dit qu’une balle, c’est seulement qu’une égratignure.

§ L’importance de la voix off :

Il y a plusieurs personnages principaux dans ce film. Chaque bout que l’on voit avec un des personnages principaux, celui-ci est presque toujours avec la voix off. Par contre, on entend souvent la pensé des personnages, leur point de vue par rapport à la situation, ce qu’ils ressentent.

§ Le cynisme expéditif du dialogue :

Lorsque Nancy parle à la fin avec le Yellow Gaspard et qu’il lui a ligoté les mains avec de la corde. Hartiguan, peut avant lui avait dit de ne pas crier. Celle-ci l’écoute et le Yellow Gaspard se fâche, car il veut qu’elle crie. Elle lui dit, Hartiguan avait raison à ton sujet, si je ne crie pas ta pas d’érection , tu fais pitié, tu fais pitié !

§ Des intrigues complexes :

L’histoire est dure à suivre au début, car il y a 3 histoires qui se déroule en même temps, mais on finit pas comprendre peu après. Donc, il n’y a aucune intrigue complexe.

§ Recours au flash-back :

Au début, Marv se rend dans le bar de danseuse et regarde Nancy danser. Un peu plus tard dans le film, Hartiguan se rend dans ce même bar de danseuse et on peut apercevoir Marv qui est assis au même endroit. Donc, l’histoire était antérieure.

§ Des huis clos oppressifs :

Il n’y a aucun huis clos oppressif dans ce film.

Critique du film :

Au début je ne m’attendais pas à grand-chose. Je ne suis pas une fan fini des films qui ressorte des bandes dessinées. Par contre, cette fois-ci j’ai été surprise par les effets, les couleurs et les contrastes entre les couleurs. C’est vraiment un film accrochant, les personnages jouent très bien leur rôle. Cela nous amène hors de l’ordinaire, des films habituels. C’est vraiment un monde totalement différent et ça fait vraiment changement des films que l’on regarde d’habitude. Ce film m’a fait changer ma vision par rapport aux films de bandes dessinées.

 

Voici la bande-annonce du film qui a été en compétition au festival de cannes en 2005, Sin city !

 

 

Thirst - Park Chan-Wook

Thirst – Park Chan-Wook

(2) Raisons pourquoi ce film est un film fantastique :

 § Une des caractéristiques des personnages dans les films fantastiques est le mort-vivant. Dans ce film, Sang Yyun, qui est le prêtre, se porte volontaire pour une étude expérimentale en Afrique. Cette étude est dans le but de contrer une maladie mortelle. Il meurt comme tous les autres cobayes. Par contre, une transfusion sanguine d’origine inconnue le ramène à la vie. Après cela, il devient donc, un vampire et transforme Tae-Ju, la sœur de son ami d’enfance, en vampire. Le vampire fait partie de la catégorie des morts-vivants.

§ Un des lieux dans ce film est le vieil hôpital. On voit souvent le prêtre qui boit le sang d’une victime, qui est dans le coma, à l’hôpital. Le vieil hôpital fait partie des lieux que l’on retrouve dans les films fantastiques.

Film d’horreur ou de terreur ?
À mon égard, ce film est un film d'horreur, car selon la définition de l'horreur, cela peut être un caractère de ce qui est propre à provoquer l'horreur. Dans le film Thirst, on voit beaucoup de choses dégoûtantes. De plus, l'horreur, c’est une chose ou une personne très repoussante. L'horreur est la manifestation de réel, c'est la réalité à laquelle nous ne pouvons échapper. Le réalisateur à décider de montrer chaque meute que les vampires (Sang Yyung et Tae jue) font, on voit les moindres détails dégoûtants. Par exemple, lorsqu'ils sont tous autour de la table et qu'ils jouent à un jeu. On voit Tae-Jue qui sort son couteau en dessous de la table, pour se préparer à les assassiner. Peut après, on comment ils les martyrisent.

King Kong - Peter Jackson

Film fantastique

Titre du film: King Kong

Année de sortie: 2005

Réalisateur : Peter Jackson

Synopsis :

Dans l’état de New York, un réalisateur, qui se nomme Carl Denham, apprend que ses patrons veulent le congédier. Il décide donc de partir avec tout ce qu’il lui faut pour tourner son film, sans le dire à ses patrons. Une jeune artiste de music-hall fait la connaissance de ce fameux réalisateur. Ann a perdu son emploi, elle souffre de famine. Carl Denham est convaincu qu’elle serait parfaite pour interpréter le premier rôle dans son film. Celui-ci la recrute, pour le premier rôle. Il décide de tourner son film, sur une île, qui se nomme Skull Islande. Carl part à l’aventure avec ses techniciens et le scénariste très populaire Jack Driscoll. Il arrive plusieurs mésaventures sur leur bateau, très près de cette île. Ann se fait enlever par des indigènes. Ceux-ci capturent des gens, pour ensuite les offrir à leur Dieu, se nommant King Kong. Toute l’équipe de tournage part à la recherche de madame Darow sur cette île. C’est alors que, l’aventure sur cette île très étrange, débute.

Critique :

Ce film a su m’accrocher du début à la fin. J’ai vraiment aimé cette histoire. Les effets spéciaux sont très bien faits. De plus, Peter Jackson a su, accentuer le dégoût, chez le locuteur. En grande partit lorsqu’on entend des milles pattes et plusieurs autres insectes gluants, le bruit est vraiment amplifié, tout ça, en plus de voir l’image dégoûtante. King Kong est très bien fait, on peut voir tout au long du film, ce qui ressent réellement. Tout ça se voit dans ses yeux. De plus, on ressent au plus profond de nous-mêmes la chimie qu’il a entre le gorille gigantesque et Ann. La plupart des gens le voient comme une créature qui dévore tout sur son passage, mais Ann le voit d’une autre manière. Je crois que si les humains lui aurait pas tirer dessus et lui faire toujours du mal, il n’aurait pas agi de la même manière. C’est normal qu’il agisse de cette façon, car tout ce que les humains veulent, c’est d’utiliser King Kong pour devenir riche et célèbre. D’autant plus, qu’ils le maltraitent beaucoup. Finalement, c’est un film très intéressant, à voir, qui nous mène dans un univers où tout est gigantesque.

 Les personnages :

Dans ce film fantastique, Peter Jackson a introduit un monstre physiologique, qui est la créature animale (King Kong). King Kong est un monstre fictif, c’est-à-dire, un gorille gigantesque que Peter Jackson a introduit dans l’univers fantastique de son film. On ne sait pas trop ce qui va se passer avec cette créature gigantesque, tout au long du film.

 

Les lieux :

Certains lieux qui caractérisent les films fantastiques font apparence dans le film de Peter Jackson. Notamment, l’histoire se déroule, en grande partie dans la Jungle. Souvent c’est très noir et on y voit plusieurs étranges créatures qui vivent dans la jungle. On ne sait jamais à quoi s’attendre, lorsque les personnages se promènent dans la jungle. De plus, King Kong vit dans une grotte. Dans cette grotte, on peut y voir plusieurs cadavres.

 

Les thèmes :

Dans ce film, on retrouve un thème qui caractérise les films fantastiques. En particulier, le gigantisme. Dans la jungle, tout est gigantesque (King Kong, les insectes). De plus il y a des dinosaures à maintes reprises. Bref, c’est un univers fantastique, où tout est gigantesque.

 

 

 

 

 

Aspects techniques :

ü À maintes reprises, on peut voir des images sombres et contrastées. En particulier, au début, tous ceux qui sont sur le bateau s’aperçoivent que Ann a été enlevée et qu’il fallait faire demi-tour. Après quelques jours de recherche, ils traversent un tronc d’arbre et ils tombent face à face avec King Kong. Celui-ci balance le tronc d’arbre d’un côté et de l’autre, pour les faire tomber en bas d’une falaise. Ceux-ci s’accrochent après des lianes et tombent dans un endroit très sombre. Peu après, on voit des insectes gigantesques, sortir de leur cachette et venir vers eux pour les attaquer. On peut remarquer un contraste de couleur entre les personnages, l’environnement dans laquelle ils sont et les insectes.

ü Plusieurs images aux teintes saturées sont présentes dans ce film. Lorsque les indigènes ont enlevé Ann, on voit ceux-ci qui célèbrent. Tout au long, de l’enlèvement d’Ann, jusqu’à ce que King Kong arrive, on remarque des teintes saturées.

ü Il n’y a aucune lumière prépondérante qui provient d’en bas, dans ce film.

ü Il y a plusieurs angles de caméra surprenants : plongées et contre-plongées accentuées. Pour intensifier la scène que King Kong sort de la jungle et qu’il tombe face à face avec Ann pour la première fois. On voit Ann en plongée, ce qui accentue l’effet de détresse, de peur. Ensuite, on voit King Kong en contre-plongée, ce qui amplifie le fait qu’il est plus puissant qu’elle, il possède le pouvoir.

ü La musique ou l’absence de musique joue un rôle important, dans les films fantastiques. Dans ce film, Jack Driscoll part à la recherche, seul, d’Ann. Ann est entre les mains de King Kong. Ann et King Kong dorment. Jack Driscoll dit son nom et tend la main à Ann. Il lui dit de ne pas faire de bruit. Il y a de la musique à ce moment, jusqu’à ce que leurs mains se touchent. À cet instant, on voit King Kong qui ouvre les yeux et devient très méchant, car il ne veut pas qu’Ann le suive.

Hunger Games - Gary Ross

En fin de semaine, j'ai regardé le film Hunger Games. Ce film m'a vraiment accrochée tout au long de l'histoire. Plusieurs personnes me parlaient de se film, donc j'ai décidé de l'écouter, car les gens me disaient seulement que des bons commentaires sur ce film.

Synopsis :

Une jeune fille de 16 ans, qui se nomme Katniss Everdeen habite dans un des douze districts de l'Amérique du Nord. Chaque district est gouverné par le Capitole, le gouvernement en place. Depuis la mort de son père, Katniss apprend à chasser, elle découvre les plantes qui sont comestibles et celles qui ne le sont pas, pour amener de la nourriture à sa famille. Malgré tout ce qu'elle fait, elle et sa famille sont au bord de la famine. Chaque année, pour la série télévisée de Hunger Games, une fille et un garçon entre 12 ans et 18 ans sont choisis dans chaque district, par un tirage au sort, pour représenter son district. Le but de cette série télévisée est que chaque district s'entretue et le gagnant aura de la nourriture pour sa famille et sera honoré par le Capitole. Lorsque c'est le temps du tirage au sort, le nom de la petite soeur de Katniss sort. Katniss se lève et veut y aller à sa place. Elle participe donc, à la compétition et représente le district 12, qui est le sien. C'est alors que l'aventure débute.

Critique personnelle :

J'ai beaucoup aimé ce film, il a totalement dépassé mes attentes. C'est une très bonne histoire, ça m'a beaucoup touchée, car pour moi la famille c'est très important. À la place de Katniss, c'est ce que j'aurais fait aussi. Le film est venu me chercher profondément, tout au long de l'histoire pour cette raison. Les personnages jouent très bien leurs rôles, on peut vraiment ressentir ce qu'il ressente pendant toute la compétition. Le stress de voir leur vie qui ne tient qu'à un fil, que d'une minute à l'autre l'un d'eux peut mourir. De savoir aussi que leur vie dépend des autres et qu'il faut plaire au public d'une certaine façon, pour pouvoir sans sortir. C'est vraiment un film à voir !

Night Shymalan - Le village

Analyse et critique

Titre: Le village

Année de sortie : 2004

 

Résumé :

L’histoire se déroule dans un petit village près d’un bois.
Les anciens du village laissent croire que si les gens s’aventurent dans la forêt, ce serait dangereux pour eux. Ils disent qu’il y a des créatures dans cette forêt. Une jeune femme aveugle qui s’appelle Ivy et un jeune homme se nommant Lucius, décidèrent de démontrer enfin leur amour qu’ils ont toujours eu un envers l’autre. Par contre, le meilleur ami d’Ivy, qui n’est pas d’accord du tout, lorsqu’il apprend la nouvelle, engendre plusieurs conséquences. Ivy doit donc mettre sa vie en danger pour sauver celle de son amour.

 

Éléments

v Le travelling arrière :

La sœur d’Ivy va parler au début à Lucius, pour lui faire part de son amour pour lui, mais il ne l’aime pas. Après, on voit la sœur d’Ivy qui pleure, dans son lit et sa mère qui la console. À ce moment on voit la caméra qui s’éloigne graduellement et on voit la chambre au complet.

(14minutes à 15minutes)

 

v Le plan moyen :

Béatrice parle aux anciens du village. Elle leur dit qu’elle est allez à l’entrepôt avant le mariage et que tout le bétail était intact. On voit Béatrice de la tête aux pieds, c’est-à-dire, en plan moyen.

(49minutes à 50minutes)

 

v Le plan subjectif :

Noah Percy apprend la nouvelle, qu’Ivy et Lucius vont se marier. Il se rend chez Lucius. Lucius lui parle de l’amour, dos à Noah. Lorsque Lucius se retourne, Noah le poignarde dans le ventre. La caméra vient à ce moment, les yeux de Noah et peu après les yeux à Lucius qui regarde le couteau que Noah lui a enfoncé dans le ventre, puis qui regarde Noah.

(51minutes à 52minutes)

 

v Le plan rapproché épaules :

Ivy demande à son père pour avoir son avis et son consentement. Elle veut aller chercher des médicaments qui pourraient sauver Lucius. Elle demande donc, s’il elle pourrait traverser les bois pour aller dans les villes, même si c’est très dangereux pour elle. On la voit donc à cet instant, en plan rapproché épaules.

(58minutes à 60minutes)

 

v Le travelling circulaire :

Ivy et son père se rendent au vieux bâtiment, près du bois. Son père va débarrer la porte et lui dit de tout faire pour ne pas hurler. À ce moment, il y a un travelling circulaire.

(1h04minutes à 1h05minutes)

 

v Night Shymalan :

Kevin travaille pour la faune et la flore. Celui-ci rencontre Ivy sur la route et lui parle. Elle lui dit qu’elle veut le médicament qui est inscrit sur sa feuille. Il lui dit qu’il y a des réserves proches, qui contiennent des médicaments pour les animaux et d’autres produits pour quelques cas d’urgence, comme ce dont elle avait besoin. Kevin se rend à la réserve et on peut apercevoir Night Shymalan qui est assis à son bureau, en train de lire le journal.
(1h35minutes à 1h38minutes)

 

 

Le réalisateur, Night Shymalan :

Night Shymalan est un réalisateur, un producteur en plus d’être acteur. Il est né le 6 août 1970 à Pondichéry. Il est d’origine indienne. Avant d'aller à l'école des arts de l'université de New York, Shymalan réalise plusieurs dizaines de courts métrages amateurs. Celui-ci s'inspire de son idole, Steven Spieldberg. Il interprète un rôle dans la plupart de ses films, à la même manière qu'Hitchcock.

Critique :

J’ai beaucoup aimé ce film, je trouve que c’était une belle histoire. De plus, je trouve que l’histoire démontrait bien, que ce n’est pas parce qu’une personne est aveugle, qu’elle ne peut pas faire certaines choses que les autres font. Elle en fait autant, parce qu’elles développent certaines aptitudes que nous on n’a pas nécessairement.